Avant les vitres électriques en voiture... l'huile de coude
date 09/07/2024 - 11:13 | micro_reportage Perrine Martin
Cela devrait réveiller une douleur dans le bras de plus d'un. Pierre Lefebvre revient sur l'évolution des mécanismes d'ouverture et de fermeture des vitres des voitures. Car avant les vitres électriques, il y avait la manivelle. Pas de climatisation donc, seulement l'air frais de l'extérieur obtenu à la seule force des bras.
Image d'illustration générée via IA
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Avant les vitres électriques en voiture... l'huile de coude
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« Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans... » Cela peut paraître comme une évidence pour certains et pourtant, les vitres des voitures n'ont pas toujours été électriques. Car avant, on tournait une manivelle pour faire monter et descendre ces vitres.
« La vitre électrique est maintenant quelque chose d'assez anodin mais ça a été un luxe pendant très longtemps sur le marché automobile », explique Pierre Lefebvre de l'Automobile Magazine. En effet, cette technologie « s'est répandue petit à petit. C'est-à-dire que les vitres électriques sont tout d'abord arrivées à l'avant et puis ensuite à l'arrière. Maintenant, c'est un standard de série ».
Certaines voitures possédaient même des spécificités puisque « les modèles à trois portes avaient ce qu'on appelle les vitres de custode à l'arrière, c'était les fameuses vitres à compas. Donc c'était une sorte de crochet et on pouvait légèrement ouvrir la vitre ».
Pierre Lefebvre raconte une anecdote : « Il y avait aussi des ‘‘fenestrons’’ sur les portières avant. C'était des petites vitres qu'on pouvait entrebâiller ‘‘en espagnolette’’. Ça permettait là aussi de faire rentrer de l'air frais. »
Les vitres électriques sont aujourd'hui un standard. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, la marque aux chevrons Citroën a décidé de revenir au vintage avec l'un de ses modèles, la première génération de DS4 : « Elle vendait cette voiture avec des vitres arrière fixes tout simplement parce qu'elle considérait inutile de pouvoir ouvrir les vitres à partir du moment où il y avait la climatisation. »
« La vitre électrique est maintenant quelque chose d'assez anodin mais ça a été un luxe pendant très longtemps sur le marché automobile », explique Pierre Lefebvre de l'Automobile Magazine. En effet, cette technologie « s'est répandue petit à petit. C'est-à-dire que les vitres électriques sont tout d'abord arrivées à l'avant et puis ensuite à l'arrière. Maintenant, c'est un standard de série ».
Certaines voitures possédaient même des spécificités puisque « les modèles à trois portes avaient ce qu'on appelle les vitres de custode à l'arrière, c'était les fameuses vitres à compas. Donc c'était une sorte de crochet et on pouvait légèrement ouvrir la vitre ».
Pierre Lefebvre raconte une anecdote : « Il y avait aussi des ‘‘fenestrons’’ sur les portières avant. C'était des petites vitres qu'on pouvait entrebâiller ‘‘en espagnolette’’. Ça permettait là aussi de faire rentrer de l'air frais. »
Les vitres électriques sont aujourd'hui un standard. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, la marque aux chevrons Citroën a décidé de revenir au vintage avec l'un de ses modèles, la première génération de DS4 : « Elle vendait cette voiture avec des vitres arrière fixes tout simplement parce qu'elle considérait inutile de pouvoir ouvrir les vitres à partir du moment où il y avait la climatisation. »
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