Il était une fois... les voitures qui parlent
date 19/08/2024 - 10:59 | micro_reportage Perrine Martin
C'est un concept que certains ont dû connaitre s'ils ont passé leur enfance dans une Renault 25 par exemple. Aujourd'hui, c'est une technologie de plus en plus répandue dans les voitures : l'ordinateur de bord qui parle. Un système quelque peu perturbant mais bien pratique grâce à l'intelligence artificielle.
Image d'illustration générée via IA
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Il était une fois... les voitures qui parlent
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Aujourd'hui, certains enfants aiment bien parler à leur voiture pour programmer les commandes. Mais avant, c'était les voitures qui parlaient via ce que l'on appelait les ordinateurs de bord. Les tout premiers « ont fait leur apparition au milieu des années 80 », selon Christophe Congrega, journaliste à L'Automobile Magazine.
« L'une des premières voitures à posséder ce système a dû être la Renault 25. Renault s'est lancé très vite dans les voitures pilotées par l'électronique. C'était des tableaux de bord numériques un peu futuristes », qui surfait sur la vague K2000. « La R25 avait un ordinateur de bord qui parlait. Donc dès qu'on entrait et qu'on démarrait la voiture, il commençait à contrôler toutes les fonctions. Et d'ailleurs, elle parlait tout de suite en disant ‘‘Toutes les fonctions sous contrôle sont opérationnelles’’ », poursuit le journaliste.
Cependant, un problème est rapidement apparu : la fiabilité, qui n'était pas complètement au rendez-vous. Résultat, « l'ordinateur de bord, commençait parfois à vous parler alors que vous n'aviez rien demandé. Et si elle se mettait à parler en boucle, c'était un petit peu pénible ». Et inquiétant, car la voiture envoyait des messages contradictoires aux passagers à bord.
Mais aujourd'hui, l'électronique a bien évolué et, après une longue pause, les ordinateurs de bord sont revenus en force. L'intelligence artificielle a pris le pas et envahi les véhicules. « Elle vous accueille et vous parle comme si c'était un copain ou une copine et on lui parle en retour. On dit ‘‘J'ai chaud, j'ai froid’’ et elle propose de monter ou baisser la température ». Tout est désormais possible dans les voitures modernes.
« L'une des premières voitures à posséder ce système a dû être la Renault 25. Renault s'est lancé très vite dans les voitures pilotées par l'électronique. C'était des tableaux de bord numériques un peu futuristes », qui surfait sur la vague K2000. « La R25 avait un ordinateur de bord qui parlait. Donc dès qu'on entrait et qu'on démarrait la voiture, il commençait à contrôler toutes les fonctions. Et d'ailleurs, elle parlait tout de suite en disant ‘‘Toutes les fonctions sous contrôle sont opérationnelles’’ », poursuit le journaliste.
Cependant, un problème est rapidement apparu : la fiabilité, qui n'était pas complètement au rendez-vous. Résultat, « l'ordinateur de bord, commençait parfois à vous parler alors que vous n'aviez rien demandé. Et si elle se mettait à parler en boucle, c'était un petit peu pénible ». Et inquiétant, car la voiture envoyait des messages contradictoires aux passagers à bord.
Mais aujourd'hui, l'électronique a bien évolué et, après une longue pause, les ordinateurs de bord sont revenus en force. L'intelligence artificielle a pris le pas et envahi les véhicules. « Elle vous accueille et vous parle comme si c'était un copain ou une copine et on lui parle en retour. On dit ‘‘J'ai chaud, j'ai froid’’ et elle propose de monter ou baisser la température ». Tout est désormais possible dans les voitures modernes.
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