Donna Summer : reine du disco en Live comme en studio
date 04/11/2024 - 14:30 | micro_reportage Gilles Ravarino
Le disco, c'est LE style de musique qui laisse s'exprimer les voix dans toute leur splendeur. Et s'il fallait retenir un nom qui a donné des frissons à tous, Donna Summer se place en haut de la liste. La reine du disco règne aussi bien en studio que sur scène. Comme dans cette série de concerts assurée en 1978 dans la cité des anges : Los Angeles.
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Donna Summer : reine du disco en Live comme en studio
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De tous les surnoms qu'elle a eus, Donna Summer mérite bien celui de reine du disco. En cette année 1978, après quatre ans bien denses, elle a accumulé un nombre conséquent de tubes, elle a joué dans le film « Thanks god, it's friday ! », et remporté un Grammy Award pour la chanson ‘‘Last dance’’, tiré de la bande originale du film cité auparavant.
Un tel succès attire forcément des détracteurs. L'érotisme de certains de ses titres leur fait dire qu'elle est un produit marketing, qui ne sonne bien qu'en studio… Une critique qui revenait souvent pour le disco en général, le style laissant la part belle aux hommes de l'ombre : ingénieurs du son ou encore producteurs.
Mais Donna Summer n'est pas une artiste comme les autres. Démonstration, en beauté, avec le live enregistré à Los Angeles le 17 juin 1978.
Un tel succès attire forcément des détracteurs. L'érotisme de certains de ses titres leur fait dire qu'elle est un produit marketing, qui ne sonne bien qu'en studio… Une critique qui revenait souvent pour le disco en général, le style laissant la part belle aux hommes de l'ombre : ingénieurs du son ou encore producteurs.
Mais Donna Summer n'est pas une artiste comme les autres. Démonstration, en beauté, avec le live enregistré à Los Angeles le 17 juin 1978.
Et pour l'occasion, on a mis les petits plats dans les grands pour retrouver toute la magie des enregistrements studios. On retrouve sur scène une Donna Summer qui se révèle avec une tessiture large et gorgée de feeling nourri au gospel... L'énergie de la chanteuse est démontrée par une série de six titres disco sans interruption, comme ce que l'on trouvait au début des vinyles. De cette série de concerts, est ressorti un double album qui se hissera n°1 des ventes et se classera durant 65 semaines !
‘‘Last Dance’’ est la chanson qui clôt le concert. Le public est en liesse, la magie Summer a encore opéré.