Yuri Buenaventura, le prince de la salsa new-yorkaise
date 16/09/2024 - 18:52 | micro_reportage Chrystèle Mollon
‘‘Amame’’, le nouvel album du plus français des artistes colombiens, est une authentique déclaration d’amour à la salsa fabriquée par les musiciens afro-caribéens dans le New-York des 70’.
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Yuri Buenaventura, le prince de la salsa new-yorkaise
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C'est le retour du plus français des artistes colombiens, Yuri Buenaventura. ‘‘Amame’’, ‘‘Aime-moi’’ en espagnol, donne son nom à ce nouvel album. Album enregistré aux Etats-Unis, à New York. « C'est un album de salsa pur et dur », explique l'artiste. « Les compositions sont lyriques, ce qui me vient de mon expérience française. J'ai rajouté à ça les tambours de Colombie et les cuivres de New York, et c'est ça l'album Amame ».
On l'a compris, l'amour est son principal thème d'inspiration : « Cet album évoque essentiellement l'amour et le désamour. Des textes d'amour et de désamour, mais avec une section rythmique forte et des cuivres pétillants. Des titres piano-voix, des tempos, des couleurs variées, avec une pointe de lyrisme pendant ces 50 minutes de musique, pour oxygéner l'oreille et partager mieux cette musique ».
« Je suis très heureux de revenir avec ce projet parce que j'ai enfin trouvé un mélange qui m'est équilibré. La Colombie, la salsa de New York, la francophonie et la francophilie ».
L'artiste colombien partage également ses réflexions sur son célèbre album de 1996, qui inclut une reprise de ‘‘Ne me quitte pas’’ de Jacques Brel. Cette reprise, qui a marqué le premier disque d’or d’un artiste colombien en France, était une expression de son amour pour la chanson française. « C'est un geste d'amour et il m'a été répondu avec un grand amour aussi de la France envers mon travail », confie-t-il.
On chante et on danse dans les concerts de Yuri Buenaventura : ça tombe bien, dès le mois de février, sa tournée passera par Seignosse, Aix-en-Provence, ou encore la salle Pleyel, à Paris, le 8 avril 2025.
On l'a compris, l'amour est son principal thème d'inspiration : « Cet album évoque essentiellement l'amour et le désamour. Des textes d'amour et de désamour, mais avec une section rythmique forte et des cuivres pétillants. Des titres piano-voix, des tempos, des couleurs variées, avec une pointe de lyrisme pendant ces 50 minutes de musique, pour oxygéner l'oreille et partager mieux cette musique ».
« Je suis très heureux de revenir avec ce projet parce que j'ai enfin trouvé un mélange qui m'est équilibré. La Colombie, la salsa de New York, la francophonie et la francophilie ».
L'artiste colombien partage également ses réflexions sur son célèbre album de 1996, qui inclut une reprise de ‘‘Ne me quitte pas’’ de Jacques Brel. Cette reprise, qui a marqué le premier disque d’or d’un artiste colombien en France, était une expression de son amour pour la chanson française. « C'est un geste d'amour et il m'a été répondu avec un grand amour aussi de la France envers mon travail », confie-t-il.
On chante et on danse dans les concerts de Yuri Buenaventura : ça tombe bien, dès le mois de février, sa tournée passera par Seignosse, Aix-en-Provence, ou encore la salle Pleyel, à Paris, le 8 avril 2025.
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