Steve McCurry, l'icône de la photo au Caumont Centre d'Art d'Aix-en-Provence
date 05/11/2024 - 15:57 | micro_reportage Aurélie Mignone
Trois idées pour trois jours de week-end : Un accrochage inédit de l'œuvre de Steve McCurry à Aix-en-Provence pour tout savoir de cet immense conteur visuel, la compagnie Biagini qui offre une version moderne du ‘‘Marius’’ de Pagnol à Cannes, et puis ‘‘La Haine’’ le film de Mathieu Kassovitz qui passe de l'écran à la scène à Marseille.
© Culturespaces
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Steve McCurry, l'icône de la photo au Caumont Centre d'Art d'Aix-en-Provence
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‘‘Steve McCurry : Regards’’, c'est le nom de l'exposition à ne pas manquer jusqu'au 23 mars qui retrace l’œuvre du photographe, 40 ans de carrière, en 80 œuvres. Le parcours invite forcément au voyage, lui qui a immortalisé l'Inde, le Pakistan ou encore le Japon. Connu pour ce cliché de cette petite fille afghane au yeux verts. Une icône de la photographie dont le travail oscille entre artistique et documentaire, lui que se définit comme un conteur universel. Madeleine Balancino, responsable des expositions de Caumont Centre d’Art, nous raconte la genèse de sa carrière de photographe : « Steve McCurry est né aux Etats-Unis, et après avoir lu un article sur les moussons dans un journal, n’a qu’une envie : en voir une de ses propres yeux. Il part donc à 28 ans en Inde puis au Pakistan et en Afghanistan. Et ce sont ses premiers clichés sur ce pays en guerre qui le conduisent au succès avec la publication de ses photos dans le New York Times. C’est cet événement qui fait de Steve McCurry ce qu’il est aujourd’hui. »
le site officiel
Il y a des films, des répliques qui marquent, à l'instar de celle-ci : « Jusqu’ici tout va bien. Ce qui compte c’est pas la chute c’est l’atterrissage ! » De l’écran à la scène, ‘‘La Haine’’, le film de Mathieu Kassovitz, devient une comédie musicale, 30 ans après sa sortie en salle. Le sous-titre change mais pas le propos. ‘‘La Haine, jusqu’ici rien n’a changé’’ est au Dôme de Marseille, pour deux dates ce week-end.
le site officiel
Dans le registre patrimoine culturel français, la compagnie Biagini joue son ‘‘Marius’’ au Palais des Festivals de Cannes ce samedi. Propos là aussi intemporel, un monde de tendresse où l’œuvre de Pagnol s’offre un costume plus moderne. A l’occasion du 50e anniversaire de la disparition du dramaturge, le Bar de la Marine rouvre ses portes et on y retrouve Marius, César, Fanny, Panisse et Honorine. Nostalgie garantie.
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Il y a des films, des répliques qui marquent, à l'instar de celle-ci : « Jusqu’ici tout va bien. Ce qui compte c’est pas la chute c’est l’atterrissage ! » De l’écran à la scène, ‘‘La Haine’’, le film de Mathieu Kassovitz, devient une comédie musicale, 30 ans après sa sortie en salle. Le sous-titre change mais pas le propos. ‘‘La Haine, jusqu’ici rien n’a changé’’ est au Dôme de Marseille, pour deux dates ce week-end.
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Dans le registre patrimoine culturel français, la compagnie Biagini joue son ‘‘Marius’’ au Palais des Festivals de Cannes ce samedi. Propos là aussi intemporel, un monde de tendresse où l’œuvre de Pagnol s’offre un costume plus moderne. A l’occasion du 50e anniversaire de la disparition du dramaturge, le Bar de la Marine rouvre ses portes et on y retrouve Marius, César, Fanny, Panisse et Honorine. Nostalgie garantie.
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