F1 : Grosses turbulences chez Alpine
date 09/09/2024 - 14:08 | micro_reportage Sébastien Dath
Après un début de saison plus que décevant et pour tenter de renouer avec les bons résultats, l’écurie française a décidé de tout changer, ou presque.
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F1 : Grosses turbulences chez Alpine
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Du sport mécanique à l’honneur de notre rendez-vous automobile cette semaine. Notre partenaire L’Automobile Magazine nous propose un coup de projecteur sur l’écurie française Alpine F1 Team qui enchaîne malheureusement les mauvais résultats. Pour tenter d’inverser la tendance, alors qu’il ne reste que 8 Grand-Prix avant la fin de la saison et que l’équipe n’a marqué que 13 petits points en 16 courses, on annonce du changement à tous les étages.
Christophe Congrega, journaliste au mensuel, explique tout d’abord que face aux difficultés rencontrées sur le monoplace par les deux pilotes tricolores Pierre Gasly et Esteban Ocon, ce dernier a été remercié. Il rejoindra l’écurie américaine Haas l’an prochain et sera « remplacé par Jack Doohan, un pilote australien qui est le fils de Mick Doohan, ancien pilote multi champion du monde en moto vitesse ».
Si les baquets Alpine ne seront plus 100% tricolores l’an prochain, ce qui n’est d’ailleurs pas une mauvaise chose selon Christophe Congrega, « le problème, c’est que l’écurie a du mal avec les résultats et que depuis quelques années il y a une valse des dirigeants ».
La dernière en date et non des moindres, rappelle le journaliste de L’AM, a eu lieu récemment : « Cette année, vient d’être nommé aux commandes, en tant que directeur non-exécutif, mais qui a bien l’oreille des patrons, Flavio Briatore, que l’on connaît pour ses succès en Formule 1, mais aussi pour le ‘‘Crashgate’’ de 2008 où il avait demandé à l’un de ses pilotes de se mettre dans le mur pour favoriser la victoire de l’autre voiture, Renault à l’époque, pilotée par Fernando Alonso... Donc il avait été radié de la F1 et il a été blanchi il y a quelques années. »
Outre le départ d’Ocon et l’arrivée du patron italien, qui fait forcément beaucoup parler dans les paddocks, Alpine aurait également décidé d’abandonner le moteur Renault F1. Là aussi, l’écurie aurait choisi de quitter la France, « puisque ce serait, quasiment sûr, pour acheter un moteur Mercedes ». Une décision qui pourrait avoir des conséquences en matière d’emplois dans l’hexagone, d’après Christophe Congrega : « On enlève beaucoup de travail à l’usine de Viry-Chatillon qui faisait les moteurs, qui était une usine d’excellence. »
Christophe Congrega, journaliste au mensuel, explique tout d’abord que face aux difficultés rencontrées sur le monoplace par les deux pilotes tricolores Pierre Gasly et Esteban Ocon, ce dernier a été remercié. Il rejoindra l’écurie américaine Haas l’an prochain et sera « remplacé par Jack Doohan, un pilote australien qui est le fils de Mick Doohan, ancien pilote multi champion du monde en moto vitesse ».
Si les baquets Alpine ne seront plus 100% tricolores l’an prochain, ce qui n’est d’ailleurs pas une mauvaise chose selon Christophe Congrega, « le problème, c’est que l’écurie a du mal avec les résultats et que depuis quelques années il y a une valse des dirigeants ».
La dernière en date et non des moindres, rappelle le journaliste de L’AM, a eu lieu récemment : « Cette année, vient d’être nommé aux commandes, en tant que directeur non-exécutif, mais qui a bien l’oreille des patrons, Flavio Briatore, que l’on connaît pour ses succès en Formule 1, mais aussi pour le ‘‘Crashgate’’ de 2008 où il avait demandé à l’un de ses pilotes de se mettre dans le mur pour favoriser la victoire de l’autre voiture, Renault à l’époque, pilotée par Fernando Alonso... Donc il avait été radié de la F1 et il a été blanchi il y a quelques années. »
Outre le départ d’Ocon et l’arrivée du patron italien, qui fait forcément beaucoup parler dans les paddocks, Alpine aurait également décidé d’abandonner le moteur Renault F1. Là aussi, l’écurie aurait choisi de quitter la France, « puisque ce serait, quasiment sûr, pour acheter un moteur Mercedes ». Une décision qui pourrait avoir des conséquences en matière d’emplois dans l’hexagone, d’après Christophe Congrega : « On enlève beaucoup de travail à l’usine de Viry-Chatillon qui faisait les moteurs, qui était une usine d’excellence. »
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