Les DJ à qui il fait écouter sa démo lui conseillent de faire un rap car « ça marche bien en ce moment ». Lui, voudrait une chanteuse. Et c’est dans une université de New York qu’il croise Brenda Shannon Greene. Après une petite audition, les paroles de Fire and Ice deviennent Let the Music Play et la jeune chanteuse réduit son nom à Shannon.
Le son est une base d’électro hip-hop avec une touche romantique féminine mais aussi une grosse louche d’influence latine, cubaine et africaine.
Pour l’anecdote, le refrain n’est pas chanté par Shannon, en tous cas officieusement, il s’agit d’un guitariste choriste qui n’a jamais été crédité. Le résultat est un tube mondial qui dépasse les 8 millions d’exemplaires vendus, un titre incontournable lors des battles de breakdance et pour Shannon le sacre de reine de la musique freestyle... Vive la reine !